Notre Foire aux Questions(FAQ)
Comment bien acheter vos huiles essentielles ?
Les huiles essentielles sont des substances puissantes mais qui sont « fragiles ». Elles peuvent être facilement polluées, moins concentrées…
Les critères de qualités sont donc fondamentaux pour pouvoir prévoir et doser l’efficacité de l’huile essentielle et surtout sa non toxicité.
« Ma Pharma BIO » s’engage à ne travailler qu’exclusivement avec des spécialistes d’huiles essentielles capables de répondre aux critères de qualité stricts suivants :
. La certification botanique : l’appellation de la plante doit préciser le genre, l’espèce, la sous-espèce, le cultivar afin d’éliminer le risque d’erreur issu de noms vernaculaires locaux. Il est donc fondamental de toujours avoir la denomination latine.
. L’origine géographique : le nom du pays ou d’une région apporte des précisions intéressantes sur le biotope (facteurs environnementaux) de la plante aromatique et déterminera une composition biochimique particulière.
. Le mode de récolte ou culture : cette précision vous dira si la plante est sauvage ou cultivée et issue d’une culture biologique (avec label bio affiché) ou non.
. Le stade de développement botanique : les caractéristiques de la composition biochimique de l’huile essentielle dépendent parfois du stade de développement végétal: moment de la cueillette avant, pendant ou après la floraison.
. L’organe distillé (ou expressé pour la famille des citrus) : la composition biochimique des huiles essentielles varie en fonction de la partie ou de l’organe de la plante distillée. L’écorce de cannelle de Ceylan ne contient pas la même essence que les feuilles du même arbre.
. Le mode d’extraction : le mode d’extraction: expression à froid, hydro distillation, distillation par entraînement à la vapeur d’eau influence aussi la composition de l’huile essentielle.
. Le chémotype : l’analyse chromatographique en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse apportera les précisions fondamentales quant aux molécules particulières et spécifiques rencontrées dans les huiles essentielles.
Est-ce qu’on peut se soigner aussi efficacement avec un médicament naturel qu’avec un médicament issu de la chimie industrielle ?
Tout dépend de la maladie !
Par exemple pour soigner un virus donnant une rhinopharyngite on est beaucoup plus efficace avec une huile essentielle de Ravinstara, qu’avec un médicament synthétique.
En revanche, dans d’autres domaines les médicaments synthétiques vont plus vite que certains traitements naturels.
Il ne faut donc pas opposer par « philosophie » les deux approches, mais utiliser le meilleur des deux médecines qui sont souvent très complémentaires. Par exemple, pour traiter une grosse inflammation, on peut combiner un anti-inflammatoire de synthèse avec la prise d’un mélange de curcuma, scrofulaire, harpagophytum les premiers jours (ainsi l’inflammation est prise en charge de manière optimale) et supprimer par la suite l’anti-inflammatoire de synthèse, qui ne peut être pris plus de 10 jours, sous peine d’avoir un impact négatif sur l’estomac.
L’avantage de certaines plantes est qu’en leur sein, elles renferment l’ « antidote », à leur effet secondaire. C’est le cas du Curcuma, grand anti-inflammatoire, qui est aussi un excellent protecteur de la muqueuse de l’estomac.
CE QU’IL FAUT RETENIR : comme pour tout médicament, le remède naturel doit être judicieusement choisi (nature de la plante et type d’extrait), utilisé à la bonne dose –il faut noter que les médicaments de phyto sont souvent sous dosés pour des raisons réglementaires-, pour offrir l’efficacité attendue.
Dans ce cadre, on oubliera le terme de « médecine douce » pour la phytothérapie, absolument non représentatif de l’efficacité rapide et puissante que certaines plantes, utilisées aux bonnes doses, peuvent avoir.
N’hésitez pas à demander conseil à nos experts « Ma Pharma BIO » !
Phytothérapie, Homéopathie, Aromathérapie, Gemmothérapie, Micro-nutrition, quelle différence ?
La phytothérapie désigne la médecine fondée sur les extraits de plantes et les principes actifs naturels. Ce mot vient du grec « phytos » qui signifie plante et « therapeuo » qui signifie soigner.
On peut la distinguer en deux types de pratiques
- une pratique traditionnelle à visée explicitement thérapeutique, parfois très ancienne fondée sur l’utilisation de plantes selon les vertus découvertes empiriquement. Selon l’OMS, cette phytothérapie est considérée comme une médecine traditionnelle et encore massivement employée dans certains pays dont les pays en voie de développement. C’est le plus souvent une médecine non conventionnelle du fait de l’absence d’études cliniques systématiques ;
- une pratique qui repose sur la recherche scientifique sur les extraits actifs de plantes. Les extraits actifs identifiés sont standardisés. Cette pratique débouche suivant les cas sur la fabrication de « phytomédicaments ».
L’aromathérapie est la médecine par les huiles essentielles. Par le procédé de distillation à la vapeur d’eau, les molécules volatiles de la plante sont libérées sous une forme liquide et concentrée : l’huile essentielle.
Elle a été longtemps basée sur l’utilisation traditionnelle des Huiles Essentielles et reste encore la pratique exercée des naturopathes entre autres…
Dans nos pharmacies, nous pratiquons l’aromathérapie médicale scientifique c’est-à-dire l’utilisation d’huiles essentielles chémotypées (de composition biochimique bien connue) par voie cutanée, orale, vaginale, rectale, nasale, auriculaire et olfactive afin d’assurer un complément de soin ou un soin préventif ou curatif d’un large panel d’affections chez l’homme, l’animal et la plante, tant au niveau de la destruction des foyers infectieux pathogènes que de la gestion des troubles symptomatiques, organiques ou fonctionnels de ladite affection.
L’homéopathie (du grec όμοιος / hómoios, « similaire » et πάθος / páthos, « souffrance » ou « maladie ») est une pratique de médecine alternative inventée par Samuel Hahnemann. Le principe de fabrication des médicaments homéopathiques est de diluer des substances qui, si elles étaient concentrées, provoqueraient des symptômes similaires à ceux du patient. Mais en raison des dilutions extrêmes utilisées, les remèdes homéopathiques sont dépourvus de principes actifs. L’homéopathie est donc radicalement différente de la phytothérapie ou à fortiori de l’aromathérapie en termes de dose !
La gemmothérapie est une médecine non conventionnelle fondée par le docteur Pol Henry, elle utilise des tissus embryonnaires végétaux en croissance tel que jeunes pousses, bourgeons, radicelles, préparés par macération dans un mélange d’eau, de glycérine et d’alcool pour obtenir un extrait que l’on nomme « macérat glycériné ».
Le mot gemmothérapie provient du latin « gemmae », qui signifie à la fois bourgeon et pierre précieuse (allusion à la stabilité apparente des bourgeons en hiver ainsi qu’à leur préciosité). La gemmothérapie est une branche particulière de la Phytothérapie
La micro-nutrition est le domaine de la nutrition qui implique les micronutriments. La micro-nutrition propose la modification du régime alimentaire ou la prescription de suppléments alimentaires en vue d’une meilleure santé ou de meilleures performances. La Micro-nutrition n’est pas réservée à une population particulière. C’est une discipline ouverte, particulièrement adaptée pour répondre aux problématiques qui affectent notre qualité de vie et notre bien-être, au quotidien. Elle permet aussi d’agir en amont pour maintenir durablement notre capital santé. Ainsi, on peut obtenir des résultats étonnants pour les troubles digestifs de bébé, diminuer le stress, améliorer le bien-être des femmes en période de ménopause ou encore maintenir la vitalité musculaire des personnes âgées…
J’ai une maladie grave (par exemple, cancer), est-ce que les remèdes naturels peuvent m’aider dans mon traitement, dans mon bien-être ou dans ma guérison ?
Effectivement, même dans la prise en charge de maladies lourdes la phytothérapie a beaucoup de bénéfices. Il est bien évident dans ce cadre, que la phytothérapie ne remplacera pas les traitements conventionnels (chimiothérapies, radiothérapies….), mais elle a de vrais bénéfices en accompagnement de ces traitements.
En effet, les chimiothérapies sont presque toutes toxiques pour le foie. Le foie métabolise de nombreux agents chimiothérapeutiques, dont certains peuvent endommager les cellules de cet organe ( hépatotoxicité ). Il y a des agents chimiothérapeutiques qui sont plus susceptibles que d’autres de causer une hépatotoxicité. Quelques uns affectent davantage le foie lorsqu’ils sont utilisés à dose élevée. L’accompagnement à des temps précis du traitement par du desmodium notamment–plante hépatoprotectrice dont l’efficacité a été découverte dans des hépatites fulgurentes – permettra de limiter cette toxicité hépatique.
Dans la prise en charge du stress du patient – élément fondamental pour la réussite du traitement -, la phyto sera aussi un vrai atout !
« Ma Pharma BIO » vous propose, dans le cadre d’accompagnement de pathologies lourdes de prendre rendez-vous pour un entretien personnalisé permettant ainsi l’évaluation des besoins précis du patient et la mise en place d’un traitement individualiser.